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Quelques énigmes en vrac


Solide comme l'acier,
mais plus souple qu'une lame,
je ne suis rien de plus
que des trous liés à d'autres.
Une chaîne

Si cela cache, ce n'est que pour mieux révéler.
Cela bloque autant que cela permet de passer.
La réponse est dans la question.
Qui suis-je ?
Une énigme

Sans moi s'effondreraient les cathédrales.
Je suis la solution pour m'élever depuis le sol,
Et atteindre le paradis.
Qui suis-je ?
La clé

Encore plus sûrement qu’un venin ne saurait jamais le faire,
terrassai-je tous mes adversaires.
Rongés et moulus de mes mains,
rien de ce que je prends ne m’appartient.
Nul ne me résiste, chaque chose se meurtrit, cesse d’être libre,
et par ma puissance retourne à l'équilibre.
Le temps

Je peux tuer en étant absent
Et donner la vie si je reviens
Je peux blesser les gens
Mais peu de choses peuvent m’atteindre
Je ne suis personne
Mais sans moi il n’y aurait personne
J’ai plus de frères et soeurs que quiconque
Mais je n’ai aucun lien de sang avec eux
Une âme

Que peut-on mettre dans une pièce
Qui le rende plus lumineuse
Sans allumer ni feu de détresse
Ni user de magie fumeuse ?
Une fenêtre

Dans le jour ou dans la nuit
Tous ont un jour vu son regard
Sur l’océan ou sur la plaine
Il n’a vers personne aucun égard
Dans ce monde et nul ailleurs
Il effraie enfants, les frères et soeurs
De puissants chefs en sont devenus
De nombreuses choses portent ce nom connu
Un monstre

Une cape rouge en guise de veste,
Une tresse verte sur la tête,
Dans ma poitrine un coeur de pierre,
Qui ne bat mais donne la vie.
Que l’on m’offre toute entière,
Je ne suis qu’un instant de plaisir,
Mais qu’on me dévête, me jette à terre,
Je creuse ma tombe sans mourir.
Une cerise

J’ai des rivières où ne coule nulle eau,
Des forêts où ne pousse aucune arbre,
Des montagnes sans une seule pierre,
Et des villes où nul ne peut vivre.
Une carte

J’ai la force de dix hommes,
La longueur de dix hommes,
Dix hommes ne peuvent me briser,
Mais un enfant peut m’étendre et me marcher dessus.
Une corde

Je commence dans l’éternité,
Et finit dans l’espace,
Au milieu des temps,
Et dans chaque palace,
Contenu dans la terre,
Dans l’eau ou l’atmosphère,
Absent des esprits,
Je suis dans les rêves,
Absent des rois,
Je suis chez les reines,
Seule je ne suis rien,
Mais sans moi rien ne pourrait être rien.
Le "e"

Je peux lécher, mais pas savourer,
Par moi toute chose est réduite en déchets,
J’ai beau craqueler je reste toujours entier,
Et prend toujours le plus large sentier,
J’ai assisté les premiers hommes,
Et leur ferai payer plus que la somme,
Près de moi les gens se blottissent, s’endorment,
Mais s’enfuient quand je sors de ma demeure,
Je tressaute alors, je bondis, je jaillis,
Quand l’homme transi espère juste me trouver.
Le feu

Je tourne la tête, et vous pouvez aller,
Je la tourne encore, vous voici bloqué,
Je n’ai aucun visage, mais je vis et peux renoncer,
Quand de mes dents inégales toutes sont élimées.
Une clé

J’ai attrapé dix poissons sans indices,
Et neuf sans leur queue.
La moitié de huit, et six dont la tête manquent,
Ont atterri dans mon panier.
Qui peut me dire,
Je le demande,
Combien de poissons sont dans ma nasse ?
Zéro : le dix sans indices (sans un dix) fait zéro. Le 9 sans sa queue fait un 0, et le huit divisé en deux laisse deux zéros. Les six sans têtes donnent également zéro.

Un homme sans mains doit écrire une lettre,
Et celui qui doit la lire a perdu la vue ;
Le muet la répète mot pour mot,
Et le sourd qui écoutait n’en perdit pas une miette.
Que disait la lettre ?
Rien

Vieil homme, tu le sais,
Tu as combattu jusqu’à être fatigué,
Pas pour l’or, pas pour être acheté,
Mais en épargnant tu m’as trouvé.
Jeune arrogant, ton coeur soupire,
Viens me chercher, car c’est ton désir,
Dans les bouches de l’enfer, à l’autre bout du monde,
Qui donc croira que tu m’as gagné, si tu a tué ?
L’honneur

L’un a une tête sans yeux,
L’autre a un oeil sans tête.
Vous trouverez la réponse si vous persévérez,
Et quand tout sera dit,
La moitié de la réponse ne tiendra qu’à un fil.
Des épingles et des aiguilles

Je suis noir et très convoité,
Les hommes me cherchent jusqu’à être épuisés,
Et quand ils me trouvent, me brisent le crâne,
Et tirent de mes entrailles le coeur blanc qu’ils admirent.
Le charbon et le diamant

Qui grossit sans manger ?
Les nuages

Quand la nuit vient avec son lot de fantômes,
Que les ténèbres étendent leurs ailes sur le ciel,
Certains les craignent,
D’autres les attendent,
Ils renaissent chaque nuit,
Et meurent chaque jour,
Ne laissant que le goût d’une autre vie.
Les rêves

Inutile pour un,
Il ravit pour deux.
Le petit garçon l’a pour rien,
Le jeune homme doit mentir pour l’avoir,
Le vieillard doit l’acheter.
C’est le droit du bambin,
Le privilège de l’amoureux,
Le masque de l’hypocrite,.
A la jeune fille, il donne la foi,
A l’épouse, il donne l’espoir.
A la vieille femme, c’est la charité.
Un baiser

Qu’est-ce qui fait le tour de la ville
Sans jamais se déplacer ?
Les remparts

Je suis plein de trous
Et pourtant je retiens l’eau
Qui suis-je ?
Une éponge

Un toit en métal, des murs de verre,
Brûle et brûle, sans jamais tomber.
Qui suis-je ?
Une lanterne

Il a plus de savoir que ce qui peut être dit,
Mais il n’a ni cerveau, ni coeur.
Livre

Elle vient seulement avant,
Elle vient seulement après,
S’élève dans les ténèbres,
S’élève dans la lumière,
Elle est toujours la même,
Mais chaque fois différente.
La lune

C’est un trésor doré qui bouge sans cesse,
Une pièce jaune qui nous enrichit tous,
Faisant pleuvoir pépites, et poussière d’or,
Toutes dans sa grace rayonnante,
Et plus précieux qu’aucun métal luisant.
Le soleil

Je sillonne les collines,
Contourne les montagnes,
Enjambe les rivières,
Et nage à travers les forêts.
Ouvrez votre porte, vous me trouverez.
La route

En moi les aventureux dégotent,
Quêtes et trésors de toutes sortes,
Trolls, gobelins, orcs et plus encore
Attendent, entre mes murs fermés
Tous ceux qui veulent me visiter.
Vos mains sont la clé
Des secrets oubliés,
Et votre esprit déverrouillera la porte.
Un livre

Plus dures que l’acier
Et plus vieilles que le temps ;
Elles sont plus patientes que la mort
Et se dresseront encore, quand les étoiles cesseront de briller.
Leur force se fonde
Dans leurs racines profondes,
Là où les sables et les glaciers
Ne peuvent même pas rêver d’aller
Les montagnes

Aussi beau qu’un lever de soleil,
Aussi délicat que la brume matinale,
La poussière d’ange qui tombe des étoiles
Peut changer la terre en une lune gelée.
La neige

Je suis la partie de l’oiseau, qui n’est pas dans le ciel,
Qui peut parcourir les océans, et toujours rester sec.
Le dernier vestige de l’homme, qui refuse de mourir.
Je commence à travailler tôt, dévorant votre corps,
Et quand midi passé, je vous rends tous vos membres,
Ce n’est que pour mieux revenir.
Le soir tombé, j’envahit vos demeures,
Je me régale de votre âme, de votre corps, de vos peurs,
Quand les ténèbres arrivent, je disparais en elles.
Jusqu’à ce qu’enfin, le soleil ne se lève.
Une ombre

Regardez mon visage,
Je ne mens jamais ;
Je suis la fenêtre sur l’âme,
Peu importe ce qui est caché.
Certains voient en moi la mort,
Là où d’autres voient la vie ;
Me renier, beaucoup l’ont tenté,
On dit que je mens, que je ne rends pas justice
Mais à tout ceux qui ont subi pareil préjudice :
LE MENSONGE EST LEUR PROPRE VIE.
Un miroir

J’ai deux corps, qui se rejoignent pour ne faire qu’un.
Mais plus je reste debout, plus je passe vite.
Un sablier

Vous en avez beaucoup, mais jamais assez.
Après le dernier, votre vie est écourtée.
L’anniversaire

Je te rends faible pendant les pires moments.
Je te garde en vie, je te rends alerte.
Je rends tes mains moites, et te glace le coeur.
Je visite le faible, mais rarement le hardi.
La peur

Je rends les hommes vulnérables plusieurs heures chaque jour,
Je montre d’étranges visions pendant votre silence.
Je vous prends la nuit, mais le jour vole à votre secours,
Personne ne souffre de moi, mais souffre de mon absence.
Le sommeil

Ils n’ont ni peau, ni pelage,
Ni plumes, ni écailles, ni os,
Pourtant ils ont des doigts et des pouces,
Qui leur sont propres.
Les gants

C’est mieux que votre plus grand amour,
C’est pire que votre plus grande peur,
Les pauvres l’ont,
Les riches le veulent,
Si on en mange, on meurt.
Rien

Celui qui le fabrique n’en veut pas,
Celui qui l’achète ne s’en sert pas,
Celui qui s’en sert ne le sait pas.
Un cercueil

Je suis la source de toute émotion,
Mais je suis prisonnier d’une cage.
Le coeur

Il y a quatre frères dans ce monde qui sont tous nés ensemble :
Le premier court et ne fatigue jamais,
Le deuxième mange et n'est jamais plein,
Le troisième boit et n’a jamais soif,
Et le quatrième chante une chanson qui n'est jamais bonne.
L’eau, le feu, la terre, le vent.

Si vous l’avez, vous voulez le partager,
Si vous le partagez, vous ne l’avez pas.
Un secret

Il hurle mais il est sans voix,
Il flotte mais il est sans ailes,
Il mord mais n’a pas de dents,
Il murmure mais n’a pas de bouche.
Le vent

On ne peut le voir, ni le toucher,
On ne peut l’entendre, ni le sentir.
Elle vit derrière les étoiles, et sous les collines,
Et dans les trous qu’elle remplit.
Elle vient en premier, et nous poursuit tous.
Mets fin à la vie, et fait taire les rires.
L’obscurité

C’est une boîte sans coins, ni serrure, ni clé,
Qui contient pourtant un petit trésor doré.
Un oeuf

Vivant sans respirer,
Aussi froid que la mort,
Jamais assoiffé, toujours buvant,
Tout en mailles, jamais clinquant.
Un poisson
Vous devez la garder après l’avoir donné.
Votre parole

Aussi léger qu’une plume,
Personne ne peut le retenir plus de dix minutes.
Son souffle

Sitôt nommé, je n’existe plus.
Le silence

Entre le soleil et le sol, il ne produit aucune ombre.
L’air

Nourrissez-le, il vit,
Donnez-lui à boire, il meurt.
Le feu

Une moisson semée et récoltée le même jour,
Dans un champ non labouré, qui augmente sans croissance,
Qui reste entier, quoique dévoré de l’intérieur,
Inutile et pourtant, il est la base des nations.
La guerre, le champ de bataille

Si vous me brisez,
Je n’arrête pas de fonctionner.
Si vous me touchez,
Je peux être piégé,
Si vous me perdez,
Ça n’a plus aucune importance.
Que suis-je ?
L’espoir

Je tourne en rond,
Mais je vais toujours de l’avant.
Sans complainte,
Peu importe où je suis mené.
La roue

Plus léger que ce dont je suis fait,
Plus de moi est caché que ce qui n’est visible.
Que suis-je ?
La glace

Si un homme portait mon fardeau,
Il se briserait le dos,
Je ne suis pas riche,
Mais je laisse de l’argent dans mon sillage.
Un escargot

Ma vie se compte en heures,
Je sers en étant dévoré.
Maigre, je suis rapide,
Gros, je suis lent.
Le vent est mon adversaire.
Une bougie

Mon ventre est plein,
J’ai des arbres sur le dos,
Des clous dans mes nervures,
Mais je n’ai pas de pieds.
Que suis-je ?
Un bateau

J’ai toujours faim,
Je dois me nourrir sans cesse.
Le doigt que je lèche,
Aussitôt devient rouge.
Que suis-je ?
Le feu

J’ai trois vies ;
Suffisamment douce pour calmer la peau,
Suffisamment légère pour caresser les cieux,
Suffisamment dure pour briser la roche.
Que suis-je ?
L’eau

Des points scintillants,
Qui doucement tombent,
Des lances brillantes,
Qui ne rouillent jamais.
Stalactites

Chaque matin j’apparais,
Pour ramper à tes pieds,
Je te suis tout le jour,
Aussi vite que tu coures,
Et je meurs presque,
Sous le soleil de midi.
L’ombre

Clés sans serrures,
Nous n’ouvrons que les esprits.
La musique

Cette chose, irréelle, pourtant semble vraie,
Réfléchis, mon ami ! Dis-moi où elle vit ?
Dans l’esprit

Je suis si simple,
Que je ne peux que pointer du doigt.
Pourtant je guide les hommes
Partout dans le monde.
Un compas

Pour notre ambroisie nous fûmes bénies,
Par Jupiter, d’une piqûre mortelle.
Quoique notre force, à certains ait l’air d’une plaisanterie,
Nous avons réprimé le souffle du dragon.
Les abeilles

Un mince, un hardi,
Un malade, un froid.
Nous arpentons la terre,
Pour tourmenter l’homme.
Les quatre cavaliers de l’apocalypse

Celui qui en fabrique ne le garde pas,
Celui qui en a ne le sait pas,
Celui qui sait n’en veut pas,
Celui qui le découvre doit le détruire.
Des faux billets, de l’argent contrefait

Une dent pour mordre,
Il est l'adversaire de forêts.
Une dent pour se battre,
Comme tout Nordique sait.
Que suis-je ?
Une hache

Mi-homme mi-arbre,
Il hait les termites autant que les puces,
Ses empreintes ne sont pas les mêmes,
Et ses membres se détachent,
Mais il n’est pas étrange à voir.
Un homme avec une jambe de bois

Mort et attaché,
Ce qui autrefois était libre.
Ce qui ne faisait aucun son,
Chante maintenant avec jubilation.
Qu'est-ce qui est je ?
Un instrument à corde en bois

Touchant un, mais tenant deux,
C’est une chaîne dotée d’un seul maillon,
L’attache de ceux qui tiennent parole,
Jusqu’à ce que la mort lui ôte sa valeur.
Une alliance

Dans un superbe château d’azur,
Vit une jeune demoiselle timide,
Elle rosit le matin, rougit le soir,
Mais ne sort jamais la nuit.
Le soleil

J’ai des pieds mais je ne marche pas,
Un dos solide mais je ne travaille pas,
Deux bons bras mais je ne saisit rien,
Une place pour s’asseoir mais je n’y demeure pas.
Une chaise

Je peux être touché,
Mais qui me touche souffre avec moi.
Je me déplace vite dans une forêt épaisse,
Et meurs dans le ruisseau d’une montagne.
Partout où je passe, je laisse un linceul noir.
Qui suis-je ?
Le feu

Dans des halls de marbre aussi blanc que le lait,
Aligné avec une peau douce comme la soie,
Dans une fontaine claire comme de l'eau de roche,
Une pomme d'or apparaît.
Aucune porte dans cette forteresse,
Jusqu’à ce que les voleurs la brisent et volent l'or.
Un oeuf

Je danse au bal, mais nul ne me parle.
Une ombre

Me rendant à Notre-Dame,
Je vis un homme à sept femmes,
Chaque femme ayant sept sacs,
Chaque panier contenant sept chattes,
Chaque chatte ayant sept chatons,
Chatons, chattes, sacs et femmes,
Combien se rendaient à Notre-Dame ?
Une !

Regarde-moi en face je suis tout le monde ;
Gratte-moi le dos je ne suis plus personne.
Alors qu’est-ce que je suis ?
Un miroir

Va partout, par monts et par vaux,
Sa morsure est dure, mais jamais n’avale.
Le froid

J’ai marché, marché, et enfin je l’ai eue ;
Je n’en voulais pas, alors je me suis arrêté pour regarder.
Quand je l’ai trouvée, je l’ai jetée.
Qu’était-ce ?
Une écharde

Sans père ni mère, né sans pêché originel,
Il gronde quand il vient au monde,
Et ne dit plus rien.
Qui suis-je ?
Le tonnerre